« Le principe de ces journées était de faire passer les élèves du statut d’interprète à metteur en scène » explique le professeur d’EPS, Benjamin Landré.
Chaque groupe devait présenter à un autre groupe une partie de sa création dans le but qu’il le reproduise en étant le plus proche possible des intentions premières des chorégraphes.
La difficulté reposait déjà sur les modalités de transmissions des consignes : utiliser la parole, le geste, l’histoire, etc. La deuxième difficulté était de s’imprégner des intentions des chorégraphes et de les reproduire au plus juste en tant qu’acteur. L’ensemble de ces travaux sert aussi aux élèves à reprendre leur tableau circassien pour le spectacle d´Alice qui aura lieu au mois de mai 2019 à la salle des Fêtes du Faouët en prenant en compte des consignes ou remarques amenées par le professionnel.